Mon cher lecteur,
L’étude a été publiée hier.
Elle a été réalisée par McKinsey, le plus grand cabinet de conseil en stratégie au monde et elle révèle que :
« 56% des banques dans le monde ne sont sans doute pas économiquement viables ».
Ils utilisent la même méthode que moi dans mon dernier dossier d’investissement : ils regardent le rapport entre le coût et le rendement du capital.
C’est normal, c’est l’indicateur fondamental, celui sur lequel les banques ne peuvent pas tricher.
J’ai intitulé mon dossier « Banques : uberisation ou nationalisation », eux ont nommé leur étude : « Dernier arrêt au stand ? Le temps des grandes manœuvres de fin de cycle est venu ».
Dans tous les cas cela va secouer, et je vous avoue une certaine fierté à voir mon analyse confirmée par le plus grand cabinet de conseil en stratégie au monde.
Plus largement, c’est mon ambition qui est confirmée.
La première fois que j’ai été voir mon banquier avec le projet de L’Investisseur sans Costume, je lui ai expliqué que je voulais apporter aux investisseurs particulier un niveau de conseil habituellement réservé aux grands investisseurs institutionnels.
Voilà qui est fait.
Mais revenons à nos moutons noirs.
L’étude McKinsey apporte une explication très intéressante à cette situation inédite et catastrophique : 1/3 des banques risquent de disparaître selon les auteurs.
Selon McKinsey, nous sommes en fin d’un mauvais cycle.
Et cela, c’est nouveau, comme si nous avions tous les inconvénients d’une fin de cycle, sans les avantages : les banques n’ont pas pu se redresser depuis 10 ans, cela aussi, je vous l’ai déjà dit.
Ils ont comparé les données économiques du cycle haussier 2002-2007 à celles de 2010-2018 :
- Le capital n’est structurellement pas rentable,
- Les bénéfices sont ternes,
- Les banques des pays développés sont à la traine par rapport aux émergents,
- La valeur comptable stagne et
- La valeur boursière s’effondre.
Et tout cela en marché haussier !
Mais dans ce décor apocalyptique, ils voient comme moi un rayon de lumière.
Selon l’étude, 20% des banques captent 100% de la valeur ajoutée du secteur et :
« Près de 25% des banques (dans le monde) ont réussi à maintenir leur leadership dans des marchés difficiles, y compris un bon nombre en Europe. »
Les auteurs se sentent obligés de faire cette précision sur l’Europe tant les banques y sont en mauvaise posture.
En revanche, ce que cette étude NE fait PAS, c’est NOMMER. Qui sont les bons, qui sont les lanternes rouges ?
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
J’ai écrit un article complet sur McKinsey : 56% des banques « pas économiquement viables »
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À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle